Comment rompre le Serment de Vengeance dans Baldur’s Gate 3
La rupture du Serment de Vengeance dans Baldur’s Gate 3 consiste à agir contre ses principes fondamentaux, ce qui entraîne des conséquences mécaniques et narratives importantes, notamment la transformation du Paladin en Briseur de Serment.
Comprendre le Serment de Vengeance
Le Serment de Vengeance engage un Paladin à punir avec rigueur ceux qui commettent des actes graves. Ce serment privilégie la justice et la rétribution contre les forces du mal sans pitié.
- Le Paladin accède à ce serment dès le niveau 3, avec des sorts spécifiques tels que Malédiction ou Infliger des blessures.
- Il inflige souvent des dégâts radiants, ciblant particulièrement les créatures maléfiques.
- Les principes du serment incluent « Combattre le Mal Suprême » et « Aucune pitié pour les méchants ».
- Les capacités permettent d’avoir l’avantage lors des attaques contre un ennemi, de contrôler ses déplacements, ou d’infliger un handicap temporaire.
Que signifie rompre le Serment de Vengeance ?
Rompre ce serment revient à trahir ses engagements. Les choix qui vont à l’encontre de la punition intransigeante du mal ou qui manifestent de la clémence envers les méchants provoquent cette rupture. Cette décision est lourde de conséquences mécaniques et scénaristiques.
Exemples d’actes menant à la rupture
- Protéger ou libérer Sazza, une gobeline emprisonnée, au lieu de la punir ou la laisser mourir.
- Aider les gobelins ou attaquer les réfugiés tieffelins.
- Montrer de la clémence envers des ennemis ou interrompre une justice implacable, par exemple en empêchant Madeline de se suicider.
- Choisir de s’allier avec Minthara et trahir les valeurs du serment.
- Infliger des actes immoraux spécifiques, comme le torturer Liam ou accomplir des actions maléfiques propres au personnage Dark Urge.
Conséquences de la rupture
Rompre ce serment change définitivement la classe du Paladin en Briseur de Serment (Oathbreaker). Cela modifie les capacités :
Capacités Oathbreaker | Description |
---|---|
Souffrance Rancunière | Dégâts nécrotiques sur plusieurs tours. |
Contrôle des Morts-Vivants | Contrôle temporaire des créatures mortes-vivantes alliées. |
Aspect Terrifiant | Emet une aura effrayante affectant les ennemis proches. |
Sorts | Accès à des sorts tels que Représailles infernales, Couronne de folie ou Ténèbres. |
La rupture ne peut être annulée, changeant durablement l’arc narratif du personnage et son gameplay.
Comment procéder à la rupture de serment dans BG3 ?
Plusieurs choix dans le jeu peuvent entraîner la rupture :
- Aider les Gobelins : Libérer Sazza est la méthode la plus simple. Cette action annule l’obligation de vengeance.
- Agir contre les Tieffelins : Attaquer ou trahir les réfugiés et certains personnages comme Zevlor ou Arabella.
- Bases de trahison : Ne pas punir les ennemis, faire preuve de clémence, ou s’allier contre les principes du serment.
- Choix de quêtes : Torturer des PNJ, empêcher la justice, soutenir des factions antagonistes.
- Actions propres au Dark Urge : Multiples actes sombres spécifiques à ce profil de personnage.
Exemple concret : la libération de Sazza
Sazza est une gobeline emprisonnée dans la Druid Grove. En empêchant Akra de la tuer, puis en la libérant vous-même, vous vous éloignez de la voie du Vengeur. Cette décision déclenche une scène spécifique où le joueur bascule vers le Briseur de Serment.
Points importants à retenir
- Rompre le serment modifie sérieusement le développement du personnage.
- Il n’y a pas un seul moment dans le jeu mais plusieurs actions cumulatives possibles.
- La transformation en Briseur de Serment influe sur les combats et les interactions sociales.
- Cette décision est irréversible dans la version actuelle du jeu.
- Certains actes semblent aller à l’encontre du serment, mais ne provoquent pas sa rupture.
Questions fréquentes
- Peut-on revenir à l’Oath of Vengeance ? Non, la rupture est définitive.
- La rupture entraîne-t-elle automatiquement le changement de sous-classe ? Pas dans tous les cas ; cela dépend du contexte narratif et du jeu.
- Quelles actions provoquent la rupture ? Toute clémence ou soutien envers les ennemis, actes immoraux ou alliances contraires au serment.
- Quels sont les impacts sur le gameplay ? Perte d’accès aux sorts et capacités spécifiques, gain de nouvelles capacités liées à la noirceur.
- Quelle est la différence avec l’Oath of the Ancients ? L’Oath of Vengeance punit rigoureusement, l’Oath of the Ancients privilégie la protection de la lumière et de la vie.
Points clés
- Le Serment de Vengeance engage à une justice implacable contre le mal.
- Rompre le serment exige des choix contraires à ces principes.
- Cette rupture modifie profondément le personnage et ses capacités.
- Différentes actions dans BG3 peuvent entraîner cette rupture, notamment aider les gobelins ou trahir les Tieffelins.
- La transformation vers le Briseur de Serment est irréversible et altère la narration et le gameplay.
Comment rompre le Serment de Vengeance dans Baldur’s Gate 3 (BG3)
Le Serment de Vengeance ? Oui, c’est bien un engagement sacré d’un paladin qui décide de devenir le bourreau des méchants, implacable et dur comme fer. Il impose à son détenteur de traquer et punir ceux qui ont commis des crimes graves sans pitié. Mais voilà, parfois dans BG3, on peut se demander : est-il possible, et surtout comment, de tourner le dos à ce serment ? Spoiler : c’est possible. Et c’est même tout un art scénaristique.
Alors, quelle est la recette secrète pour briser le Serment de Vengeance ? C’est ce que vous allez découvrir dans cet article qui explique en détail toutes les subtilités du mécanisme de BG3…
Qu’est-ce que le Serment de Vengeance ?
Avant de casser son engagement, faut-il déjà comprendre ce que c’est ! Le Serment de Vengeance est un des chemins proposés au paladin dès le niveau 3. Ici, l’idée est claire : pas de place pour la clémence. On traque sans relâche le mal, on nargue l’injustice et on balance du coup porté avec style (bonjour spells comme bestow curse et inflict wounds).
- Focus : punir ceux qui ont causé un mal grave, même s’ils ont échappé à la justice traditionnelle.
- Ambition : faire régner la justice par le châtiment, sans compromis.
- Pouvoirs : dégâts radiants qui brûlent les méchants, capacités spéciales comme Abjure Enemy et Relentless Avenger.
Ce serment diffère du Serment de la Dévotion plus traditionnel, ou du Serment des Anciens qui valorise lumière et vie. Ici, c’est la justice expéditive et le feu purificateur qui priment.
Pourtant, on peut décider de faire un petit crochet : comment cracher sur ce serment ?
Comment rompre son Serment de Vengeance dans BG3 ?
La rupture du serment est un virage énorme, non seulement pour l’histoire, mais aussi pour le gameplay. Les pouvoirs du paladin changent, on passe d’un vengeur implacable à un Oathbreaker, un chevalier déchu qui joue désormais avec des forces plus sombres.
La mécanique est directe : agir contre les principes même du serment, c’est-à-dire faire preuve de clémence ou protéger un malfaiteur, est la façon la plus efficace de le briser. Et pour ça, BG3 propose des situations bien ficelées. La plus célèbre ? Le cas de Sazza, la gobeline prisonnière.
- Rencontrer Sazza, cette condamnée gobeline dans la réserve druidique.
- Choisir de la protéger contre Akra (une chasseuse sans pitié).
- La libérer, permettant à Sazza de retourner se battre pour son camp.
En adoptant cette voie, vous faites clairement preuve de clémence envers un ennemi (en l’occurrence un gobelin), ce qui va directement à l’encontre du serment. Bingo, votre Serment de Vengeance vole en éclats et vous devenez un Oathbreaker.
Tableau résumé des actes menant à la rupture
Engagement | Acte de trahison |
---|---|
Pas de pitié envers les méchants | Protéger un innocent ou allié « mauvais » (ex : Sazza) |
Vengeance implacable | Montrer de la clémence à un malfaiteur |
Les autres manières bien sales de briser son serment (pour les rageux)
Le jeu fourmille d’occasions de faire de la trahison joyeuse :
- Soutenir les gobelins: choisir de s’allier aux gobelins lors de la bataille de Blighted Village ou libérer Sazza dans le Druid Grove.
- Frapper civils et alliés: attaquer Zevlor, les réfugiés tieflings, ou tuer Arabella et les enfants tieflings en pleine fête.
- Betrayals classic: laisser Arka tuer Sazza, se ranger du côté de Minthara la chef gobeline à Moonrise Towers.
- Actions de quêtes corrompues: torturer Liam, encourager Madeline dans sa vengeance ou même son suicide (avant de finalement l’arrêter).
Autant vous dire qu’à chaque fois que vous penchez pour un choix qui « pardonne » ou « protège » plutôt que de punir, le plafond du Serment craque un peu…
Et ça change quoi au gameplay ?
Une fois l’Oath brisé, les capacités du paladin ne sont plus ce qu’elles étaient. Adieu l’Abjure Enemy et l’Inflict Wounds bien propre. Bonjour le style Oathbreaker plein d’effets ténébreux et nécrotiques !
- Souffrance rancunière : dégâts nécrotiques subis chaque tour.
- Contrôle des morts-vivants : dirigez des créatures mortes pour combattre vos ennemis.
- Aspect terrifiant : fait fuir vos adversaires.
- Sorts sombres : Hellish Rebuke, Crown of Madness, et autres joyeusetés macabres.
En d’autres termes, vous troquez le justice implacable contre… une justice ténébreuse, que même Méchant du Mois approuverait !
Le point de non-retour
On ne rigole pas avec ces serments chez BG3. Une fois l’Oath de Vengeance brisé, impossible de revenir en arrière. La transformation est définitive. Votre histoire évoluera avec ce nouveau statut et ouvrira certaines portes tout en en fermant d’autres.
La grande question : quand rompre son Serment devient-il une bonne idée ?
Cela dépend bien sûr de votre style de jeu et de narration. Voulez-vous jouer le chevalier noir, au dilemme moral torturé ? Ou préférez-vous la voie stricte et droite de la justice aveugle ?
Rompre son serment peut débloquer certaines quêtes, alliés ou scènes inédites, mais aussi rendre votre progression plus complexe et sombre. Un vrai choix à faire en conscience, rien que pour votre plaisir de jeu.
FAQ : Tout ce que vous voulez savoir sur la rupture du serment
- Est-ce que je deviens automatiquement un Oathbreaker ? Pas forcément. Cela dépend du moment, des actions et du scénario de BG3. Mais c’est généralement le cas.
- Existe-t-il des actes qui ressemblent à une rupture mais ne le sont pas ? Oui, certains choix paraissent trahir le serment, mais le jeu ne les prend pas en compte pour le briser.
- La rupture touche-t-elle mon histoire ? Énormément. Cela change dialogues, interactions et même certaines réactions des compagnons.
- Peut-on revenir en arrière ? Non, une fois fait, c’est fait. Pas de baguette magique !
Un petit résumé pour finir ?
- Le Serment de Vengeance pousse à punir sans pitié les méchants pour la justice.
- Pour le briser, il faut choisir la clémence ou soutenir l’ennemi.
- Sazza la gobeline est votre meilleure amie (ou votre pire cauchemar) pour déclencher la rupture.
- Romez votre Serment et vous devenez un Oathbreaker, avec de nouveaux pouvoirs ténébreux.
- Attention, c’est un engagement ferme, irréversible, avec plein de conséquences fun (ou dramatiques).
Alors, êtes-vous prêts à devenir ce justicier un peu moins blanc et un peu plus gris, voire noir ? Votre aventure dans Baldur’s Gate 3 attend votre décision. Un dernier conseil : pesez bien le pour et le contre. Le chemin du paladin est souvent celui des choix difficiles, mais toujours passionnants.
- Comment puis-je briser le Serment de Vengeance dans BG3 ?
- Quel est le scénario typique pour rompre ce serment ?
- Quelles conséquences entraîne la rupture du Serment de Vengeance ?
- Est-il possible de revenir en arrière après avoir brisé ce serment ?
- Quels choix spécifiques pendant les quêtes peuvent conduire à briser le serment ?
Protéger des gobelins comme Sazza ou montrer de la clémence envers des ennemis viole les principes du Serment. Ces actes mènent à devenir un Paladin renégat, modifiant ainsi les compétences et l’histoire.
Rencontrer Sazza emprisonnée et choisir de l’aider au lieu de la punir déclenche souvent la rupture. Cette action va à l’encontre du principe de « aucune pitié pour les méchants » du serment.
Le Paladin devient un Oathbreaker : il perd certains pouvoirs et gagne d’autres, souvent plus sombres. L’histoire change aussi, influençant les interactions avec les PNJ et les quêtes.
Non. Une fois brisé, le serment ne peut pas être rétabli dans BG3. Le choix est définitif et transforme la progression du personnage.
Allier avec Minthara, attaquer les réfugiés tieffelins, torturer Liam ou sauver certains civils peuvent tous provoquer la rupture. Chaque décision qui va contre la punition des méchants compte.